vanités

Il y a un ovale primordial, pétri par la vie, et, plus profondément, par la mort,

Un chemin entre les lignes cosmiques et brûlantes, menant jusqu'à la mémoire des os.



Chanson de révolte et d'amour
D'un poème inédit, Géo BOGZA, 1934

















Pierre Martin C, 12 février 2010

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